Ce qui m’a incité à rédiger le présent billet au sujet d’un pays dont le peuple mérite une meilleure gouvernance et des chefs compétents , est l’Actu suivante :
« la volonté de juger des malversations de certains dirigeants de l’importante entreprise nationale de l’exploitation des hydrocarbures en l’occurrence la « SONATRACH » et ce suite à des infos provenant d’Italie »
On a parlé franchement de l’intention de juger un gros gibier en la personne de l’ex ministre de l’énergie Khelil à partir du 1er Avril 2013.
Et voilà qu’on fait état, tôt ce matin du 31 Mars que l’intéressé vient de quitter le pays pour la Suisse et qu’il y a eu subtilisation des documents depuis le tribunal censé juger de l’affaire !
Cela m’a rappelé l’assassinat en 1992 , du président Boudiaf par un sbire
de son service de sécurité , alors qu’il donnait un discours , d’ailleurs retransmis en direct à la télé ; ce même président luttait contre la corruption et détenait une liste d’inculpés de très haut rang !
L’Algérie , un pays qu’on veut absolument déstabiliser, ruiner et diviser !
C’est fou de voir les indices , s’accumuler et converger vers le seul but de mettre fin à l’existence de cet état sous sa forme actuelle et ce d’après décryptage des dessous des événements survenus ces derniers temps.
On se contentera dans ce billet , d’identifier le faisceau d’indices qui nous a mené à parvenir à notre conclusion .
Il ressort de notre veille stratégique qu’il existe deux types d’indices formant ce faisceau dont le premier dit « indices endogènes » , objet de la 1ère partie, et le second type sera qualifié d’exogène.
Il s’agirait d’une énumération pure et simple d’un ensemble de qualificatifs et de faits qu’on présentera à vos soins .
La déliquescence, la gangrène et le nécrose de l’état , la sénilité de chefs, la lutte des partis, l’absence de chefs charismatiques, la généralisation de la corruption, l’emprise
de la mafia, le népotisme,l’inégalité régionale,la marginalisation des jeunes, la délapidation des richesses,la fuite des devises, l’enracinement de la dépendance aux
stupéfiants chez les démunis, le chômage , l’inflation , le manque de perspective .
L’entêtement des dirigeants à considérer l’évocation des maux des algériens comme complot contre leur pays et s’acharner à jouer sur la fibre sensible du nationalisme ,d’ailleurs en voie d’extinction chez les adultes de la première génération de l’indépendance en majorité pro « FLN » de la libération afin qu’ils fassent pression sur leurs progénitures.
Ils procèdent aussi au lavage des cerveaux des niais en les apeurant du retournement de la période dite « décennie du terrorisme » et récemment en diabolisant les révolutions survenues chez leurs voisins.
Bouteflika, téléguidé par le service de sécurité « DRS », a instauré la peur et la compromission au lieu de procéder à des réformes structurelles du système politique et de tirer les enseignements des soulèvements populaires de ses voisins quant à accorder du travail aux jeunes , veiller au respect de la dignité du peuple et à son droit à l’accès aux richesses nationales ; ils en ont les moyens pour créer du job pour tous mais ils ont dépensé des milliards $ dans des transactions louches d’achat d’armement et d’avions de combat pour impressionner leurs voisins .
Marginaliser les islamistes et ne pas les insérer dans la société.
Ces mêmes dirigeants pouilleux, véreux et régionalistes ont comploté contre les révolutions des voisins en laissant les réseaux mafieux, contrôlés de très prés par leurs agents, des criminels pseudo salafistes ,sévir le long des frontières que ce soit dans le trafic des armes ou dans la contre bande afin d’instaurer l’instabilité et l’insécurité chez eux.
L’apparatchik algérien a tout fait pour avorter le soulèvement des touareg de l’azawad et a provoqué leur scission , par le biais de son agent AG GHALI », en deux mouvements l’un nationaliste « MNLA » et l’autre extrémiste salafiste « ANSAR DIN » et ce dans le but de capoter cette rébellion en la présentant comme une tentative de création d’un émirat islamique au sahel du type « TALIBAN » et d’attirer les craintes et la suspicion à leurs égards et d’arrêter net la propagation de la vague indépendantiste dans le sud du pays ou vit une majorité de leurs frères touareg.
Après la mort de Kadafi , agitateur de la région Sahel- Maghreb , ils s’étaient présentés en véritables maîtres du Sahara détenant toutes les clés de la sécurité de la région grâce à la maîtrise des réseaux d’ex terroristes repentis ,dont le fameux Belmokhtar , qu’ils contrôlent réellement la situation.
Ces mêmes dirigeants ont fourni plusieurs services aux USA , à la France et au Qatar durant la guerre en Libye au détriment de leur souveraineté et de la dignité du pays en escomptant une garantie de protection de leur part.
L’avidité du pouvoir a aveuglé la classe dirigeante au point qu’elle n’est plus en mesure de faire la bonne lecture de la situation géostratégique de la région après l’intervention néocoloniale de la France au Mali , la concomitance de celle-ci avec l’opération significative de « Ain Amenas » et surtout la vague soulèvement du sud algérien ainsi que ses répercussions.
Ils persistent et signent que ses forces ont réussi à capoter l’opération alors qu’il s’agit en fait d’un charnier , d’un imbroglio sécuritaire et d’un échec pur et parfait d’une armée dont la mise en œuvre de son dispositif aux frontières , est censé être imperméable .
Et d’aucuns d’imaginer ce que se passerait si par malheur une série d’attentats seraient commis simultanément et en plusieurs lieux ?
Que dieu épargne le peuple des ces piètres dirigeants !
A suivre
« la volonté de juger des malversations de certains dirigeants de l’importante entreprise nationale de l’exploitation des hydrocarbures en l’occurrence la « SONATRACH » et ce suite à des infos provenant d’Italie »
On a parlé franchement de l’intention de juger un gros gibier en la personne de l’ex ministre de l’énergie Khelil à partir du 1er Avril 2013.
Et voilà qu’on fait état, tôt ce matin du 31 Mars que l’intéressé vient de quitter le pays pour la Suisse et qu’il y a eu subtilisation des documents depuis le tribunal censé juger de l’affaire !
Cela m’a rappelé l’assassinat en 1992 , du président Boudiaf par un sbire
de son service de sécurité , alors qu’il donnait un discours , d’ailleurs retransmis en direct à la télé ; ce même président luttait contre la corruption et détenait une liste d’inculpés de très haut rang !
L’Algérie , un pays qu’on veut absolument déstabiliser, ruiner et diviser !
C’est fou de voir les indices , s’accumuler et converger vers le seul but de mettre fin à l’existence de cet état sous sa forme actuelle et ce d’après décryptage des dessous des événements survenus ces derniers temps.
On se contentera dans ce billet , d’identifier le faisceau d’indices qui nous a mené à parvenir à notre conclusion .
Il ressort de notre veille stratégique qu’il existe deux types d’indices formant ce faisceau dont le premier dit « indices endogènes » , objet de la 1ère partie, et le second type sera qualifié d’exogène.
Il s’agirait d’une énumération pure et simple d’un ensemble de qualificatifs et de faits qu’on présentera à vos soins .
La déliquescence, la gangrène et le nécrose de l’état , la sénilité de chefs, la lutte des partis, l’absence de chefs charismatiques, la généralisation de la corruption, l’emprise
de la mafia, le népotisme,l’inégalité régionale,la marginalisation des jeunes, la délapidation des richesses,la fuite des devises, l’enracinement de la dépendance aux
stupéfiants chez les démunis, le chômage , l’inflation , le manque de perspective .
L’entêtement des dirigeants à considérer l’évocation des maux des algériens comme complot contre leur pays et s’acharner à jouer sur la fibre sensible du nationalisme ,d’ailleurs en voie d’extinction chez les adultes de la première génération de l’indépendance en majorité pro « FLN » de la libération afin qu’ils fassent pression sur leurs progénitures.
Ils procèdent aussi au lavage des cerveaux des niais en les apeurant du retournement de la période dite « décennie du terrorisme » et récemment en diabolisant les révolutions survenues chez leurs voisins.
Bouteflika, téléguidé par le service de sécurité « DRS », a instauré la peur et la compromission au lieu de procéder à des réformes structurelles du système politique et de tirer les enseignements des soulèvements populaires de ses voisins quant à accorder du travail aux jeunes , veiller au respect de la dignité du peuple et à son droit à l’accès aux richesses nationales ; ils en ont les moyens pour créer du job pour tous mais ils ont dépensé des milliards $ dans des transactions louches d’achat d’armement et d’avions de combat pour impressionner leurs voisins .
Marginaliser les islamistes et ne pas les insérer dans la société.
Ces mêmes dirigeants pouilleux, véreux et régionalistes ont comploté contre les révolutions des voisins en laissant les réseaux mafieux, contrôlés de très prés par leurs agents, des criminels pseudo salafistes ,sévir le long des frontières que ce soit dans le trafic des armes ou dans la contre bande afin d’instaurer l’instabilité et l’insécurité chez eux.
L’apparatchik algérien a tout fait pour avorter le soulèvement des touareg de l’azawad et a provoqué leur scission , par le biais de son agent AG GHALI », en deux mouvements l’un nationaliste « MNLA » et l’autre extrémiste salafiste « ANSAR DIN » et ce dans le but de capoter cette rébellion en la présentant comme une tentative de création d’un émirat islamique au sahel du type « TALIBAN » et d’attirer les craintes et la suspicion à leurs égards et d’arrêter net la propagation de la vague indépendantiste dans le sud du pays ou vit une majorité de leurs frères touareg.
Après la mort de Kadafi , agitateur de la région Sahel- Maghreb , ils s’étaient présentés en véritables maîtres du Sahara détenant toutes les clés de la sécurité de la région grâce à la maîtrise des réseaux d’ex terroristes repentis ,dont le fameux Belmokhtar , qu’ils contrôlent réellement la situation.
Ces mêmes dirigeants ont fourni plusieurs services aux USA , à la France et au Qatar durant la guerre en Libye au détriment de leur souveraineté et de la dignité du pays en escomptant une garantie de protection de leur part.
L’avidité du pouvoir a aveuglé la classe dirigeante au point qu’elle n’est plus en mesure de faire la bonne lecture de la situation géostratégique de la région après l’intervention néocoloniale de la France au Mali , la concomitance de celle-ci avec l’opération significative de « Ain Amenas » et surtout la vague soulèvement du sud algérien ainsi que ses répercussions.
Ils persistent et signent que ses forces ont réussi à capoter l’opération alors qu’il s’agit en fait d’un charnier , d’un imbroglio sécuritaire et d’un échec pur et parfait d’une armée dont la mise en œuvre de son dispositif aux frontières , est censé être imperméable .
Et d’aucuns d’imaginer ce que se passerait si par malheur une série d’attentats seraient commis simultanément et en plusieurs lieux ?
Que dieu épargne le peuple des ces piètres dirigeants !
A suivre