Ça va très mal, la Tunisie connait une situation explosive au vrai sens du mot.
Elle est « Explosive » car le dernier attentat contre un bus de la sécurité présidentielle a prouvé que les criminels auteurs maitrisent désormais la variable « matière explosive » indépendamment du fait qu’elle soit importée de la présumée facile à désigner destination Libyenne ou localement fabriquée selon la démarche de l’ « OPEN JIHAD » qui initie les nuls loups solitaires à en fabriquer en utilisant des ingrédients de cuisine.
C’est un signal fort qui pourrait en annoncer d’autres méfaits mais sous d’autres formes tels les femmes suicidaires ou les voitures piégées !
C’est le cycle infernal et vicieux de la terreur, de l’acte et du contre acte auquel on a voulu soumettre les Forces sécuritaires et militaires et les pousser à commettre des bavures et des effets collatéraux contre la population et par conséquent accroitre les victimes et instaurer une fissure supplémentaire entre l’état et certains faubourgs ou villes dits défavorisés .
Sinon, comment expliquer l’attitude d’une partie des Tunisiens fêtant ou faisant l’apologie des attentats
Terroristes du Bardo,Sousse et Tunis ?
La situation est aussi explosive car la société vit mal cette propension vers l’extrémisme tout azimut et a besoin d’être prise en charge psychologiquement.
Un appel au calme et à la raison est de rigueur, que nos Ulémas modérés sortent de leurs terriers pour apaiser la situation et préparer un dialogue avec toutes les parties.
C’est un véritable casse-tête, que de chercher à comprendre quelles sont les motivations d’une frange de la jeunesse de ce pays , qui ont fait que les jihadistes Tunisiens battent tous les records en Syrie et Irak !
Ce n’est pas l’assignation à résidence des revenants qui résoudrait le problème : c’est provisoire et il faut repenser à autre chose avant qu’il ne soit trop tard !
Les USA , saboteurs comme toujours , sauteraient sur l’occasion pour nous acculer à accepter leurs conditions drastiques pour déstabiliser nos frères Algériens par ex.